NARBONNE
Atelier dirigé par Géraldine Fournier
Trame de l’atelier :
1) préparation du corps, échauffement (au sol puis debout) : environ 1H
2) composition de la pièce : qui sera une présentation parlée = 15 minutes
3) composition des phrases corporelles et gestuelles : explication des procédés chorégraphiques de Blanca
extrait n°1 de la pièce : « la fin de la ligne »
+ improvisation autour du thème des animaux/ monstres de Jérôme Bosch
timing : 45 minutes
4) le corps chez Blanca et son rapport au jeu / aux personnages
présentation parlée : 10 minutes
extrait n°2 : à 1h26’ de la vidéo, « le concert »
timing 40 minutes
besoins : une chaise par participant(e) , s'il y a 30 personnes = 30 chaises + 1 pour l’intervenant
5) extrait n° 3 : à 54’ de la vidéo, les animations à partir du tableau de Bosch: « partie des filles »
timing : 30 minutes
atelier présenté mais non réalisé par manque de temps : il s’agit des 3 filles avec une chaussure sur la tete et une seule chaussure à un seul pied. Ce travail est réalisé à partir du fragment du tableau de J.Bosch, des 3 filles au bord du bassin, et ayant un pomme sur la tete.
Atelier dirigé par Jean-Jacques Félix
(en relation avec le texte « Sens, contre-sens, sens autre : mise en questions de l’œuvre chorégraphique de Blanca Li « Le jardin des délices » dans une perspective pédagogique »)
Les propositions faites dans le cadre de cet atelier qui se réfère à la chorégraphie de Blanca Li « Le jardin des délices », sont à mettre en relation avec une contrainte et un parti-pris opéré vis à vis de l’œuvre chorégraphique de référence :
1° Contrainte : l’atelier, d’une durée de moins de trois heures, doit aboutir à une composition chorégraphique collective de moins de quatre minutes. En relation avec le fait qu’une composition (plus courte encore) est demandée aux élèves dans le cadre d’un Enseignement Artistique danse. Y sont pris en compte les expériences de chorégraphe, danseurs, spectateurs préconisées par les programmes.
2° Parti-pris : l’atelier s’appuie essentiellement sur l’œuvre chorégraphique de Blanca Li, dans l’interprétation-transposition qu’elle fait du tableau de J. Bosch. Cet appui prend en compte, d’une part, le spectacle chorégraphique de Blanca Li et, d’autre part, ce qu’elle a écrit à propos de son œuvre.
Ainsi, dans ce qu’a écrit Blanca Li à propos de sa pièce, ont été principalement retenus deux propos : « Je voulais faire naître un ballet de cette œuvre « sacrilège » où l’enfer se mêle au paradis, le plaisir au vice, le satirique à la morale …», et « mélanger l’univers de Bosch au mien et au monde actuel ». En ce qui concerne sa chorégraphie, a été retenu le fait qu’elle se compose (dans son mode d’écriture) sous forme de différents tableaux qui, à la fois, suivent, d’une certaine façon, la logique de lecture du triptyque de J. Bosch (paradis, Jardin des délices, enfer), mais à l’intérieur d’une succession complexe faite de tuilages, de répétitions et de superpositions.
L’atelier se structure, alors, en quatre moments, précédés d’une ‘’mise en disponibilité corporelle’’.
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